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La Fardoche




Rémi, l'artisan de la Fardoche met la nature en bocal avec des Pestos, Chutneys et Houmous à base de

plantes sauvages fraiches pour des produits aux saveurs 100% préservées et naturelles !









Je découvre et commande ses produits



L'histoire de l'artisan


Rémi, l’artisan qui a fondé La Fardoche, est originaire de la région parisienne. Il a grandit et fait ses études en aménagement paysager en ville.

Mais très vite, il s’est aperçu que la ville n’était pas faite pour lui. Il a alors entrepris un long voyage d’une année, avec son sac à dos en France. En échange de coup de main et de son travail il a financé son gîte et son couvert. Il a ainsi fait des rencontres passionnantes, a pu découvrir de nombreux métiers dans l’agriculture et l’artisanat.

Puis il lui a fallu choisir une voie : il en choisit 3 qui lui plaisaient tout particulièrement : la transformation des fruits, la cueillette de fleurs sauvages et la vannerie.

Avant de se lancer, Rémi est parti en formation par le biais d’un woofing.

C’est quoi le woofing ? C'est un système d'organisation qui consiste à faire travailler bénévolement des personnes sur une exploitation agricole et biologique, en échange du gîte et du couvert. En fait il avait déjà testé cette formule mais sans passer par ce réseau ! Ce réseau lui a permis de cibler des artisans en lien avec ce qu’il cherchait à apprendre : la cueillette des plantes sauvages et la transformation des fruits.

Il est resté 2 ans chez une agricultrice puis il a fondé sa propre entreprise à 800 mètres de sa formatrice devenue amie !

La Fardoche est née.

Mais c’est quoi ce nom La Fardoche ? Pour ceux qui parlent Québécois facile ils ont déjà trouvé. Pour les autres, cela signifie « broussaille » en Québécois.

Le lien avec Rémi ? une belle soirée de brainstorming arrosée de gin artisanal bien-sûr du Québec !





La production et son savoir faire


Rémi est un passionné qui fait tout lui-même : il réalise la cueillette, imagine et crée les recettes, fait la transformation et la commercialisation des ses produits sur les marchés aux alentours de Prémian (34).

Notre artisan travaille selon les saisons évidemment puisqu’il cueille des plantes sauvages et cultive les légumes de son jardin.

Il se déplace principalement à vélo à la fois pour faire ses cueillettes et aussi faire ses marchés. C’est pour lui un réel plaisir d’utilisation ce mode de locomotion au-delà de ses convictions écologiques et économiques. Et ainsi il « n’a pas besoin d’aller à la salle de sport ».

Ses deux pics d’activité sont au printemps et à l’automne car il cumule la cueillette et la transformation.

Rémi alterne une journée de cueillette et une journée de transformation car tous ses produits sont cuisinés avec des plantes sauvages et fraichement cueillies. C’est aussi l’un des secrets de la puissance des arômes dans les produits de la Fardoche = du frais du frais du frais !

Rémi est également très vigilant dans sa cueillette de plantes. Il s’est tout d’abord formé auprès de spécialistes des plantes sauvages puis comme il me dit quand tu cueilles la même plante toute la journée, tu sais parfaitement reconnaitre et la différencier d’autres plantes tant en terme de texture, de couleur, d’aspect et d’odeur !

Il effectue 3 vérifications avant la mise en bocal. Une première au moment de la cueillette, une seconde quand il enlève les feuilles et les fleurs de ses paniers et une troisième avant de les mixer et de les cuisiner.





Les matières premières


Rémi cuisine quasi exclusivement avec des plantes sauvages qu’il cueille lui-même et les légumes qu’il cultive dans son potager personnel et aussi dans le jardin partagé près de chez lui.

Chaque plante est utilisée et cuisinée fraîche afin de préserver toutes ses saveurs !

Evidemment Rémi suit les saisons. Les premières cueillettes débutent mi mars avec l’ail des ours, puis mi avril arrive le fenouil. Les fleurs d’acacia se récolent mi mai selon la météo sur une période très limitée au temps de floraison.

La cueillette ou le ramassage se poursuit ensuite en octobre avec les marrons d’Olargues et les châtaignes. A noter que le marron d’Olargues est une variété de châtaigne greffé qui à la particularité d’être naturellement sucré et qui a un petit gout vanillé relevant bien le gout de la châtaigne.



Localisation

Son exploitation se situe à Premian, dans l'Hérault.


L'artisan, en savoir un peu plus sur lui :

Son plat préféré :

« J’aime faire la cuisine et par-dessus tout créer, inventer, tester de nouvelles recettes notamment avec les légumes de mon jardin donc difficile pour moi de choisir ! »

Son activité préférée :

« Etre disponible dans l’instant présent pour moi et pour les autres afin de partager ! J’ai horreur d’être mono-tâche aussi mes activités actuelles m’apportent un réel équilibre et beaucoup de plaisir !

Et n’hésite pas à aller le rencontrer si tu passes dans le coin.

L’accueil sera encore plus agréable si tu dîs que tu es un membre de la communauté Je veux du goûit avec sa boutique Popapotes !

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